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Processus de résolution des conflits
Processus de résolution des conflits
Mis à jour il y a plus d’une semaine

Tous les colocataires s'engagent à respecter les obligations découlant du contrat de location principal et du pacte de colocation, à vivre en harmonie et à respecter la vie privée de chacun à tout moment.

Si un colocataire ne respecte pas le contrat de location principal et le pacte de colocation et perturbe l'harmonie dans la maison, les mesures suivantes seront prises :

1. Dialogue direct :

Chaque colocataire qui constate qu'un autre colocataire ne respecte pas les principes du pacte de colocation est tenu d'en discuter directement et personnellement avec le colocataire concerné. Celui qui ne veut pas entreprendre cette démarche est réputé accepter la situation.

2. Médiation par un tiers :

Les discussions individuelles ne permettent pas toujours de trouver une solution. Lorsque deux colocataires ne parviennent pas à résoudre un problème, une tierce partie neutre est impliquée. Ce médiateur, en qui les deux parties ont confiance, écoute les deux parties et partage ses idées sans avoir le pouvoir de résoudre le problème. Le rôle du médiateur est de maintenir une conversation constructive et de veiller à ce que les deux colocataires s'en tiennent aux faits. Aucune accusation n'est portée au cours de la conversation et la "communication triangulaire" ("Une autre personne dit la même chose") est évitée.

3. Panel de colocataires :

Si la médiation ne permet pas de résoudre le problème, un groupe d'au moins quatre colocataires est convoqué pour écouter et délibérer jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée. Cette procédure est particulièrement importante dans les cas graves, par exemple lorsqu'il est suggéré qu'un colocataire devrait quitter le logement en raison de problèmes de performance ou d'intégrité.

Si le foyer compte moins ou exactement quatre personnes, cette étape peut être omise.

4. Tierce partie désignée ou personne au sein de Coloc Housing :

Si les discussions sont dans l'impasse, un arbitre est désigné. Cette personne participe au débat et prend une décision finale pour mettre fin au litige.

5. Vote :

Dans le cas extrême où aucune des étapes précédentes n'a abouti à une résolution, un vote est organisé pour déterminer si le colocataire concerné peut rester dans la maison. Avant le vote, l'arbitre désigné convoque une réunion. Tous les colocataires en sont informés au moins une semaine à l'avance par courrier électronique, afin que chacun ait le temps de se préparer et d'être présent.

Au cours de la réunion, chacun a la possibilité d'exprimer son opinion, suivie d'un vote à la majorité simple. Tous les colocataires ont le droit de voter et la décision est prise à la majorité des voix. Cette procédure garantit que tous les colocataires ont leur mot à dire dans le maintien d'un environnement de vie agréable et respectueux.

Si la majorité décide que le colocataire doit quitter le logement, le colocataire concerné est tenu d'envoyer sa notification officielle et de suivre la procédure de départ décrite dans le pacte de colocation. Cela implique que le colocataire sortant assume ses responsabilités, laisse l'espace en bon état et respecte toutes les autres obligations convenues dans le pacte de colocation. L'objectif est d'assurer une transition équitable et ordonnée, dans le respect des colocataires restants et de l'intégrité du cadre de vie.

Les colocataires reconnaissent et acceptent ces étapes comme des procédures contraignantes au sein de la maison, visant à maintenir une situation de vie harmonieuse et respectueuse.

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